Notre démarche scientifique essaie de surprendre quelques aspects concernant la dimension sociale des concepts de droit et religion, la relation entre eux et l’interaction avec d’autres dimensions telles l’économique, le politique et l’idéologie. L’analyse portera avec prédilection sur le rapport interactif entre droit et religion, en suivant la position du facteur humain conçu comme zone d’intérêt central. D’une manière ciblée, on arrive à une analyse du produit social résulté de la justice tellurique ou divine. La norme juridique, ou le commandement juridique, en tant que cellule fondamentale du droit, et la norme religieuse, ou le commandement religieux, en tant que cellule fondamentale des religions, même s’ils ont un fondement commun, c’est-à-dire la morale, produisent des effets différents. Autant qu’une commande une attitude spirituelle, et l’autre crée un rapport qui nait une fois avec la manifestation d’un fait en relation avec autrui, on peut analyser d’une manière différente les deux types des commandements. Notre opinion, selon laquelle la Constitution est la Bible des droits et libertés fondamentaux de l’homme, et la Bible est la Constitutions des Religions, engendrera des futures critiques. Ces critiques seraient fondées seulement si les religions n’étaient pas expliquées à travers une nouvelle approche, qui les conçoivent dans une compatibilité parfaite avec le science en générale et avec les sciences sociales particulièrement. La situation de l’homme entre dogme et vérité imposerait a celui-ci de choisir, et port ce choix il devrait être préparé rationnellement. A un certain moment donné on devrait faire la distinction entre religion et foi, parce qu’au cas où la religion confrontera l’impossibilité de convaincre, la prédication de la foi devra passer par la démonstration rationnelle et avec l’aide de celle-ci. Cette présentation invite, à notre avis, à une profonde analyse et méditation, le lecteur ayant le libre-arbitre à personnaliser, en soumettant au filtre de sa raison, la réponse à la question ,,Des libertés fondamentales contre commandements religieux ?’’